On dit que la seule chose qui ne change pas, c’est le changement. Et c’est encore plus vrai aujourd’hui. Les entreprises et leurs collaborateurs sont confrontés à tellement de défis, que les périodes entre les changements successifs se raccourcissent alors que les raisons de ces changements ne cessent de se renouveler : informatisation, méthode de gestion de la production, méthodes agiles, génération Y, numérisation, industrie 4.0, etc.
Souvent, on se demande si ces changements sont nécessaires. Que peuvent-ils nous apporter ? Que peuvent-ils apporter à nos clients ? Parfois, on change, mais on se rend compte que rien ne change vraiment, sauf les coûts humains et économiques qui ne cessent de s’alourdir. Alors comment mettre en place les conditions adéquates pour que la majorité des acteurs impliqués dans le changement puissent le vivre de la meilleure des façons ? Pour qu’ils puissent y trouver un sens et pouvoir se projeter plus sereinement dans l’avenir ?
Mais d’un autre côté, est-ce bien nécessaire de gérer le changement ?
Il y a des études qui montrent que pour tout franc investi en début de projet pour accompagner le changement, on en économise cinq à la fin du projet pour éviter de faire face aux blocages, aux retards, à la perte / démotivation de collaborateurs de qualité, aux surmenages et à toutes les autres conséquences liées aux freins au changement.
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