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04 novembre 2016 | Oberflächen POLYSURFACES 05/2016 | Éditorial

Édito (5/2016)

 
 
Chers lecteurs, chers abonnés, chers annonceurs

Sur le plan économique, nous passons le cap d’une période difficile et nous ne sommes vraisemblablement pas encore sortis de l’auberge. En se basant sur de nouveaux paradigmes, notamment l’évolution des techniques de communication, quasiment l’ensemble de la presse spécialisée est confrontée à une érosion des revenus publicitaires. Sont particulièrement concernés, autant sur le plan rédactionnel que sur celui des revenus publicitaires, les périodiques qui traitent de branches spécifiques. C’est en particulier le cas d’OBERFLÄCHEN POLYSURFACES, qui est la seule publication suisse du domaine des traitements de surface.
Il va de soi qu’un périodique spécialisé vit essentiellement de la manne issue de sa partie publicitaire, faute de quoi sa mission de diffusion de l’information est en péril. Nous avons constaté, au cours des derniers mois, que le revenu publicitaire s’est effiloché au point de ne même plus couvrir les coûts d’impression. De ce fait, nous avons dû nous résoudre à ramener la cadence de parution d’OBERFLÄCHEN POLYSURFACES de six à quatre éditions annuelles (mars, juin, septembre et novembre) et ce, dès le début de 2017.
En ce qui concerne la partie rédactionnelle, la variété des thèmes et le contenu des éditions ne seront pas affectés. De même que jusqu’à présent, vous continuerez de bénéficier d’une publication bien établie, comportant des articles de fond intéressants, des communications sur des produits innovants et des informations sur la vie des entreprises, aussi bien en langue allemande qu’en français. Dans ce contexte, vous avez en permanence la possibilité d’adresser à la rédaction des manuscrits qui seront publiés gratuitement. Si par la suite, le revenu publicitaire devait se rétablir au niveau antérieur, OBERFLÄCHEN POLYSURFACES pourrait à nouveau paraître au rythme bimestriel, ce que nous souhaitons bien sûr dans l’intérêt des lecteurs et abonnés.
Nous regrettons vivement d’avoir été contraints à prendre ces mesures restrictives.
 
Aldo Tormen
Rédacteur en chef OBERFLÄCHEN POLYSURFACES