Porter le nom de son agresseur : la théorie d’une dissociation par le nom de famille dans certaines psychopathologies et la nécessité d’une complémentarité des formations
Antonin Rossanino-Lods, Jérôme Palazzolo
Que se passe-t-il lorsqu’au sein d’une famille, un enfant est victime d’une agression, telle qu’une agression sexuelle, portée par un parent qui porterait le même nom de famille que lui ? Cela pourrait-il avoir une incidence dans sa capacité à s’identifier soi-même ainsi que dans son développement personnel et cérébral, voire dans le déclenchement d’une maladie psychiatrique ? Au-delà des frontières de la psychologie, la société est-elle encline ou formée à répondre à une telle problématique ? Ces questions entourent la théorisation des répercussions délétères d’une exposition continue à un nom de famille devenu anxiogène, pour ce qu’il rapproche du traumatisme.
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