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Revue internationale de CRIMINOLOGIE et de POLICE technique et scientifique
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21 septembre 2021 | Revue internationale de CRIMINOLOGIE et de POLICE technique et scientifique 02/2021 | Criminologie

Réhabilitation positive : quelle conceptualisation du cas et du plan de suivi ?

Roxanne Heffernan, Tony Ward, Erwan Dieu, Juliette Lievens

L’hypothèse de base du Good Lives Model (GLM) est que les humains sont des agents intentionnels qui s’efforcent de répondre à leurs besoins dans un environnement particulier. Cette hypothèse, qui insiste dès lors sur les ressources de la personne, son adaptation, ses besoins, en fait un exemple de psychologie positive appliquée à la criminologie réhabilitative. Le GLM est donc par nature un modèle fondé sur l’agency (dit PAM). Mais il est nécessaire d’intégrer les éléments criminogènes du sujet. Les facteurs de risque dynamiques (FRD) sont les concepts les plus utilisés dans le domaine de la criminologie. Ils guident la pratique de manière prédictive en se basant sur les données probantes, et cela est nécessaire. Nous verrons comment le GLM, avec un modèle basé sur l’agency, permet une intégration des facteurs de risque dynamiques dans un raisonnement global du cas, de son analyse structurée et de l’accompagnement individualisé.

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